Entretien avec un Vampire
- Film : Tout d'abord, ce film est inspiré d'un livre d'horreur d'Anne Rice, qui a par ailleurs écrit le scénario du film.
Dans tous les films traitant sur les vampires,
certains aspects littéraires des vampires, sont qualifiés de foutaises.
Cette fois-ci, ce sont les crucifix, les pieux dans le cœur, ainsi
que l'ail qui sont faux.
Comme le titre du film l'indique, il s'agit d'un entretien, on reverra donc Louis et le journaliste, toutes les demi-heures environs.
Tout d'abord, la renaissance
de Louis à lieux à la Nouvelle Orléans en 1791.
A cette époque cet état était français, on retrouve certaines paroles
et certains phrases en français. Ce qui explique pourquoi certains titres
sont en français dans la BO.
On perd bien sûr cette merveille d'entendre parler français dans un film
américain, en écoutant la VF.
Cette renaissance, à lieu, grâce
à Lestat, qui est merveilleusement bien joué par Tom Cruise, qui à accepter
de se faire maquiller pour ce rôle, ce qui n'est pas fréquent chez cet
acteur.
Il nous campe donc un vampire sadique, qui prend d'ailleurs plaisir à
faire souffrir ces victimes.
Les femmes sont d'ailleurs en extase devant ces deux vampires, et qui
ne se rend pas compte qu'elles se font vider de leur sang.
Dans un scène assez affreuse, Lestat demande à Louis de finir une de ces
victimes, qui est à moitié morte, et qui découvre un cercueil en guise
de table de salon.
Peux après, Louis refusant sont
statut de vampire, préfère se nourrir de rats, chiens, et autres animaux
plutôt que d'humains.
On se retrouve donc avec un film assez glauque merveilleusement bien joué
par tous les acteurs sans exemption.
Celle qui joue le mieux de tous en sans conteste Kristen Dunst, qui joue
aussi bien un rôle de gamine que d'adolescente. C'est vraiment extraordinaire
!
Vers la fin du film, quand Louis
découvre le cinéma, on le voit en train de regarder Nosferatu et Superman.
Pour ce dernier, la Warner n'a pas eu de problème de droits, en effet
DC Comics et Warner Bros, appartenant à la même compagnie.
- DVD : Version locative oblige,
on a le droit a un menu classique, commun à tous les DVD WB, avec le logo
de la société en gros.
De plus, il faut accéder au menu sois même, car le film démarre tout de
suite.
On se retrouve avec un chapitrage foireux, seuls les numéros 4, 7, 11, 13, 14, 19, 26, 29, et 32 sont disponibles.
Pour combler la quasi-absence de Bonus, on a le droit à des tas de sous-titres qui ne servent à rien, et trois langues (VF, VO, Italien)
C'est dommage, ce film aurait mérité une version collector.